L’écho du lac sacré
Nous avons fait ce trek en avril, quand les rhododendrons commençaient à rougir les collines et quand les torrents débordent encore des neiges fondues.
La montée vers Saharsbeni nous a pris le souffle, mais quelle récompense ! Le lac de Dudh Kunda, d’un blanc presque laiteux, se dévoile au détour d’un plateau silencieux. Un moine est venu bénir notre passage, traçant un cercle de farine sur le sol — geste discret, presque suspendu. Le retour s’est fait dans un calme apaisé, en suivant les sentiers bordés de genévriers. Ce voyage nous a reconnectés à quelque chose de plus grand, une sorte de lenteur juste et simple. C’est un trek que l’on porte longtemps en soi.
Romain et Camille,
41 et 39 ans Nantes Sous les drapeaux de prières du Pikey
C’était en octobre. Depuis le Pikey Peak, la vue sur l’Everest m’a laissée muette. J’avais marché lentement, accompagnée du rire discret de mon guide et du tintement lointain des clochettes de yaks. À Junbesi, une vieille femme m’a offert du thé salé avant de rejoindre le monastère de Thupten Choling, encore enveloppé de brume. J’ai compris là-bas que le trek n’était pas une course, mais une manière d’écouter le monde. Le soir, sous un ciel d’étoiles irréel, j’ai écrit dans mon carnet : “Le Népal n’est pas un pays, c’est une vibration.”
Le miel Suspendu !
Ce voyage m’a complètement dépaysée ! Voir les chasseurs de miel suspendus aux falaises était à la fois impressionnant et émouvant. L’accueil dans les villages, les repas partagés et la dégustation du fameux mad honey ont rendu cette expérience unique. Une vraie immersion dans le Népal authentique, entre nature brute et traditions vivantes.
L’Ice Lake m’a glacé… de beauté
Je n’avais jamais entendu parler de l’Ice Lake. C’est une variante du circuit, proposée par notre guide, pour ceux qui veulent une montée en plus.
Résultat : un panorama lunaire, gelé, magique, entouré de sommets silencieux.
Mais ce que j’ai aimé par-dessus tout, c’est la variété du trek : rizières vert fluo en bas, vallées tibétaines au centre, neiges éternelles en toile de fond.
Tout cela sous un ciel bleu éclatant chaque jour. Le Népal comme dans mes rêves.
Myriame,
37 ans Clermont-l’Hérault Exploration et dépassement, sans oublier l’humain.
Je suis coach sportif et j’avais envie de sortir de ma zone de confort. J’ai été servi ! Grimpe en terrain naturel, trek d’altitude, bivouac léger, logistique bien huilée… c’était un mélange parfait entre intensité et contemplation. J’ai surtout aimé la dimension humaine du voyage : pas de frime, pas de compète, juste de l’entraide, du respect du rythme de chacun, et beaucoup de rires. Une image me revient souvent : notre petit groupe au sommet d’un col, face au silence absolu de la montagne, chacun dans sa bulle. Des sensations rares, que je n’ai pas retrouvées ailleurs.
Trois générations sur les sentiers de l’Himalaya
En famille : Ma fille de 35 ans et mon petit-fils de 15 ans m’ont proposé ce trek comme cadeau de retraite. Quelle idée géniale ! Grâce aux segments en jeep, j’ai pu éviter les parties les plus dures, tout en faisant des étapes inoubliables : Ice Lake au-dessus de Manang (que j’ai laissé à ma fille pendant que je prenais un thé avec une vieille dame tibétaine), puis la montée douce jusqu’à Ghasa, avec ses rizières suspendues.
Le contraste entre la haute montagne et la chaleur tropicale de Tatopani est étonnant.
Côté culture, chaque stupa, chaque moulin à prière semble chargé de sens. Et marcher tous les trois, à notre rythme, à travers ce décor mythique… c’était plus qu’un voyage. C’était une transmission.
Clarisse N,
65 ans Romans-sur-Isère Entre potes, les virées prennent une autre saveur
On était 4 copains à rider la vallée de Katmandou sur nos Bullets… quelle claque ! Swayambhunath au petit matin, pause déjeuner à Bhaktapur, puis route vers Dhulikel… On a même dormi chez l’habitant une nuit, et joué au carrom dans la cour.
L’équipe de France Népal Voyage connaît chaque virage, chaque spot photo, et s’adapte parfaitement à nos envies, et la moto nous a fait découvrir un Népal plus intime, plus immédiat.
On se marre encore de cette fois où on a voulu suivre un chemin secondaire qui s’est terminé dans un champ… Merci FNV pour cette aventure modulable et tellement bien organisée.
Sébastien,
31 ans, Clermont-l’Hérault Bandipur, comme un voyage dans le temps
Avant même de découvrir les plantations, j’ai été enchantée par Bandipur. Ses maisons newar, ses balcons sculptés, ses ruelles pavées… on se croirait figés dans une époque ancienne. Au lever du soleil, la chaîne himalayenne se découpait parfaitement à l’horizon, un spectacle à couper le souffle. Plus tard, sur une petite exploitation de Palpa, j’ai vu le travail patient du dépulpage. L’odeur des grains fraîchement lavés et séchant au soleil restera longtemps gravée dans ma mémoire. Un café au goût fruité, un accueil chaleureux et la découverte d’un Népal rural et authentique.
L’Ilam, une source d’inspiration pour les torréfacteurs et baristas
Mon métier est centré sur le café, mais depuis quelques années, ma clientèle demande aussi du thé de spécialité. Ce voyage en Ilam m’a donné une vraie légitimité pour en parler. Découvrir les plantations à flanc de montagne, voir les cueilleuses remplir leurs paniers sous la lumière dorée d’octobre, puis participer moi-même au roulage et au séchage m’a profondément marquée.
Ce que j’ai apprécié, c’est la variété des profils aromatiques : certains thés noirs au corps ample, parfaits pour l’espresso-thé en bar à café ; des verts légers qui séduisent une clientèle plus jeune en recherche de nouveauté. J’ai même pu assister à des essais de handmade teas artisanaux, réalisés en très petites quantités : une pépite pour un coffee shop qui souhaite se différencier.
En tant que torréfactrice, je raisonne aussi en termes de storytelling. Et là, tout est réuni : paysages spectaculaires, savoir-faire transmis de génération en génération, orientation vers l’agriculture biologique… Quand je proposerai ces thés dans mon atelier de Lille, je pourrai raconter leur histoire et partager une expérience vécue, pas seulement un produit.
Ce voyage en Ilam m’a donné plus qu’un catalogue de thés : il m’a offert une inspiration, une rencontre humaine et un projet d’avenir.
Camille,
39 ans Torréfactrice et barista à Lille Un terroir prometteur pour les amateurs de spécialité
En tant que professionnel du thé depuis plus de quinze ans, je connaissais bien sûr les grands classiques d’Inde, de Chine ou du Sri Lanka. Mais ce voyage à Ilam m’a ouvert les yeux sur un terroir encore trop méconnu : celui du Népal.
Les collines verdoyantes, baignées de brumes matinales, offrent un microclimat idéal pour l’arabica… mais aussi pour le théier. J’ai visité plusieurs plantations, du grand domaine exportateur jusqu’aux petites coopératives qui expérimentent le bio et l’agroforesterie. Ce qui m’a frappé, c’est la régularité du travail et la passion des producteurs.
Au niveau sensoriel, les profils dégustés sont d’une richesse surprenante : un First Flush délicat, presque floral, rivalisant avec certains Darjeeling de printemps, et un Second Flush plus charpenté, idéal pour des assemblages haut de gamme.
Je vois un vrai potentiel pour le marché européen : volumes encore limités mais qualité grandissante, et une approche durable qui séduit de plus en plus de consommateurs.
Ce séjour m’a permis d’aller bien au-delà d’un simple achat sur catalogue : j’ai rencontré les femmes et les hommes derrière ces feuilles, et je repars convaincu que le thé népalais est une filière d’avenir à valoriser.
Laurent,
47 ans Importateur de thés à Nantes Quand la brume se lève sur les plantations
Dès l’aube, les brumes s’élèvent lentement sur Shree Antu et dévoilent des paysages presque irréels. C’était en octobre, période de la récolte automnale, et la lumière dorée rendait chaque photo magique. J’ai adoré participer à un atelier de roulage des feuilles : on comprend l’exigence derrière chaque tasse. Le soir, autour du feu, nous avons partagé des histoires avec les habitants. J’ai ressenti une vraie proximité, sans jamais l’impression d’être un simple touriste.
Les collines parfumées d’Ilam
Je ne pensais pas qu’un voyage autour du thé pouvait être aussi dépaysant ! Les collines d’Ilam couvertes de théiers forment des vagues vertes à perte de vue, ponctuées de petits villages colorés. En mai, j’ai eu la chance d’assister au Second Flush : voir les cueilleuses travailler avec tant de délicatesse m’a émue. Les dégustations m’ont ouvert un univers sensoriel insoupçonné : notes fleuries, parfois mielleuses… rien à voir avec les thés industriels. Une vraie plongée dans le quotidien népalais.
De la graine à la tasse : une révélation
En avril, la saison sèche offre un ciel d’une clarté incroyable. Je n’oublierai jamais la vue depuis les plantations de Kaski : en contrebas, les terrasses verdoyantes, et tout au loin, le Machapuchare brillant de neige. J’ai découvert chaque étape, du wet mill aux ateliers de torréfaction. J’ai même réussi à torréfier mon propre petit lot, que j’ai dégusté le lendemain avec fierté ! Le moment fort : la dégustation professionnelle encadrée par un Q-grader à Katmandou. Reconnaître des notes de chocolat, de fruits rouges, d’épices… je n’avais jamais imaginé que le café pouvait être aussi complexe.
Quand le café devient une aventure
Je suis venu en février, en pleine saison de récolte, et j’ai eu la chance de participer aux cueillettes. Quelle émotion de remplir mon panier en compagnie d’un producteur de Gulmi qui me montrait comment choisir uniquement les cerises mûres ! On a fini la journée par un dhal bhat partagé dans sa cuisine, autour du feu. Les collines environnantes sont spectaculaires, vertes à perte de vue, et le soir, le coucher de soleil sur Pokhara et le lac Phewa donnait une lumière presque dorée. Ce voyage est une immersion complète : on n’est pas juste spectateur, on fait partie de l’histoire du café népalais.
Damien,
38 ans, Valenciennes Un voyage sensoriel et humain
Je n’avais jamais imaginé que le Népal produisait un café d’une telle finesse. De la cueillette des cerises rouges dans les collines de Syangja à la torréfaction artisanale que j’ai pu réaliser moi-même, chaque étape avait quelque chose de magique. Ce qui m’a le plus marqué ? Le sourire des familles qui nous ont accueillis et la patience avec laquelle elles expliquaient leur savoir-faire. Les paysages sont superbes : des terrasses verdoyantes où les caféiers poussent entre bananiers et cardamomes, le tout avec les Annapurnas en arrière-plan. J’ai rapporté quelques sachets… mais le goût du café là-bas reste inimitable.
Laurence,
49 ans Angoulême Des panoramas qui coupent le souffle (et pas que par l’altitude !)
Ce trek, je l’ai fait en avril – la saison des rhododendrons ! Toute la montée vers Ghorepani s’est faite dans un tunnel de fleurs roses et rouges. Et au sommet de Poon Hill, la lumière de l’aube sur le Dhaulagiri et l’Annapurna m’a tout simplement bouleversé.
Mais c’est surtout la traversée vers Marpha, après Muktinath, qui m’a marqué : on sort des sentiers touristiques pour longer une rivière dans une vallée désertique où les murs de pierre semblent parler.
Le cidre de pomme maison de Marpha, les yaks broutant au pied du Nilgiri… On touche ici à quelque chose d’authentique, de vrai.
Je suis revenu apaisé, comme rechargé intérieurement.
Sylvain,
47 ans Montluçon Tatopani, les sources chaudes du bonheur
Ce trek restera l’un des plus beaux moments de ma vie. J’ai choisi le mois de novembre, et on a eu un ciel bleu ininterrompu. Les couleurs automnales des forêts entre Ghorepani et Tadapani étaient sublimes : un camaïeu de rouges et d’oranges sous les pics enneigés.
Mais ce que je retiens surtout, c’est la journée à Tatopani. Après plus de 10 jours de marche, on s’est plongés dans les bassins d’eau chaude en surplomb de la rivière Kali Gandaki. Les pieds dans l’eau, vue sur les collines en terrasses, et le chant des grillons en fond sonore… c’était magique.
Un trek exigeant mais équilibré, avec suffisamment de pauses, et toujours cette gentillesse incroyable des Népalais.
Un trek complet, une culture vibrante à chaque étape
Je ne voulais pas juste marcher, je voulais rencontrer. Ce trek m’a comblé. Dès le départ, les échanges avec les Gurung à Dharapani ou les Manangais en route vers Ice Lake m’ont fasciné. On a dormi chez des gens formidables à Ngawal, qui nous ont fait goûter un tsampa (farine d’orge grillée) autour du poêle.
Le paysage ? Comme si l’Himalaya nous testait : jungle luxuriante, puis falaises arides à Muktinath, et des vues incroyables sur les Annapurnas dès Upper Pisang.
Le col du Thorong La était exigeant (je l’ai fait à 5h du matin, -10°C !) mais quel sentiment d’accomplissement au sommet, entouré de drapeaux à prières colorés flottant au vent.
Un voyage physique, mais surtout profondément humain.
Le Népal en famille, un vrai bonheur partagé
Émilie, 42 ans – Sarlat-la-Canéda
Nous cherchions un trek adapté à nos deux enfants (13 et 16 ans), et ce tour des Annapurnas avec FNV a été une vraie révélation. Grâce aux trajets en jeep sur les premières étapes, on a évité les journées trop longues. Les enfants ont adoré les ponts suspendus, les buffles sur les chemins et les petits chiots dans les villages de Ghandruk et Marpha !
Chaque jour, on découvrait de nouveaux paysages : rizières en escaliers au départ, pins géants près de Chame, puis le désert minéral du Mustang côté Kagbeni.
Le clou ? La baignade dans les sources chaudes de Tatopani après une longue descente. On a tous fini ce trek fatigués mais émerveillés… et déjà prêts à repartir !
Émilie,
42 ans Sarlat-la-Canéda Tilicho : le plus beau jour de ma vie de randonneur
Quand j’ai vu le lac de Tilicho, figé sous le ciel, bordé par des parois titanesques, j’ai su que ce voyage resterait gravé.
C’est une des variantes possibles pendant ce trek, plus physique, mais accessible avec une journée d’acclimatation bien calée.
Tout le long, la météo nous a choyés : soleil éclatant, pas de vent, des nuits étoilées incroyables.
Et culturellement, quelle richesse ! À chaque village, un autre visage du Népal.
Je recommande ce circuit à tous ceux qui veulent voir grand, sans se priver de confort ou d’authenticité.
Nicolas,
42 ans Armentières Le Népal sans souffrir pour autant !
J’étais inquiète au départ : peur de ne pas suivre, de ralentir le groupe… Mais grâce à l’option jeep jusqu’à Chame, puis quelques jours bien pensés avec des pauses régulières et un rythme vraiment humain, j’ai pu faire tout le circuit jusqu’à Jomsom sans jamais me sentir en décalage. Et quelle aventure !
Chaque journée offrait son lot de merveilles. Après Pisang, la montée vers Manang fut un enchantement : le sentier serpente entre champs d’orge, monastères perchés et forêts de pins odorants. L’air devenait plus vif, plus pur. À Manang, j’ai pris le temps de me reposer et d’acclimater en douceur, avant de faire une balade magique jusqu’à Ice Lake – que je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire à mon âge !
J’ai même tenté le petit sommet du Lamjung Base Camp. Vue sur le Manaslu au lever du soleil, les larmes aux yeux. Ce moment reste gravé en moi, comme un cadeau inattendu.
Et le reste du trek jusqu’à Jomsom, entre le passage du col Thorong très solicitant et puis la descente dans les vallées arides du Mustang, était comme un voyage dans un autre monde : villages tibétains aux murs rouges, moulins à prières qui chantent dans le vent, gorges spectaculaires… Un vrai patchwork culturel et naturel.
On a eu un temps radieux du début à la fin. Et chaque jour, des villages fleuris, des enfants rieurs, des paysages qui changent comme des tableaux. Je me suis sentie vivante, libre, accueillie… et fière aussi. Ce voyage m’a prouvé qu’on peut encore s’émerveiller, à tout âge.
Marcher entre deux mondes
Au début, on traverse des villages népalais typiques, cultures en terrasses, petits marchés. Puis au fil des jours, on bascule dans le monde tibétain : drapeaux de prières, chörtens, monastères rouge et or.
Ce contraste m’a profondément marqué.
J’ai pris un jour off à Manang pendant que d’autres grimpaient à l’Ice Lake — l’organisation permet ça, et c’est précieux.
Octobre est vraiment idéal : visibilité incroyable, pas trop froid, et chaque virage est une carte postale.
Ce n’est pas qu’un trek, c’est un voyage culturel à ciel ouvert.
Des Annapurnas pour toute la famille
On a vécu un moment rare : un trek de montagne où nos ados n’ont jamais râlé (ou presque !). Grâce aux trajets en jeep jusqu’à certains points clés, on a pu profiter sans épuisement.
Le paysage ? Grandiose. À Pisang, les forêts de pins s’ouvrent d’un coup sur des murailles de glace.
La météo de novembre : juste parfaite. Froid sec le matin, grand soleil toute la journée.
Et puis ce mélange de cultures : temples hindous le premier jour, manis bouddhistes et drapeaux de prière dès qu’on monte un peu. Le point clef: le TorongLa. col de haute altitude très bien géré par toute la famille grace à l'attention particulière de l'agence. On a eu l’impression de traverser un monde entier à pied
Un voyage dans l’espace… et dans le temps
Ce qui m’a frappé, c’est cette sensation de voyager dans un monde encore préservé. À Namche, entre deux étals, on entend des récits de yétis. Plus haut, à Thamo, les moniales chantent à l’aube dans un temple de pierre.
On a visité une petite école grâce au contact de l’agence, partagé le thé salé avec un ancien guide à la retraite, écouté un lama raconter sa jeunesse dans la vallée.
Je n’ai jamais autant appris, autant reçu. Une leçon de simplicité.
Des cloches de yacks au son des mantras
En octobre, tout résonnait dans cette vallée : le tintement des cloches de bétail, le murmure des moulins à prières, les rires autour du poêle.
Ce trek m’a reconnectée à l’essentiel. Chaque étape était l’occasion de tisser un lien : avec un écolier qui m’a appris à jouer au bagh chal, avec une femme qui m’a prêté un châle pour la montée au col, avec les guides qui partagent bien plus qu’un itinéraire.
Pas de performance, juste une découverte sensible. Et ça change tout.
Le Népal au rythme des gens
Je voulais éviter le cliché “Everest Base Camp en 12 jours”. Ce trek est l’opposé. On passe par des villages peu fréquentés, on reste plusieurs nuits parfois, on observe les saisons, les fêtes locales.
Je suis resté bouche bée devant les champs en terrasses à Thame, et j’ai adoré la journée sans sac, juste pour visiter un monastère isolé et discuter avec les moines.
France Népal Voyage m’a permis une vraie immersion, respectueuse et profonde. C’était un voyage avec les gens, pas juste à côté d’eux.
Prendre le temps, vraiment
Ce n’était pas un trek, c’était une respiration. On n’a pas couru après des sommets : on a écouté, observé, partagé. Dormir chez une famille à Khumjung, cuisiner des momos avec la grand-mère… j’ai redécouvert la lenteur.
En avril, les chemins sont vivants : des enfants qui rentrent de l’école, des femmes qui trient les légumes, des porteurs qui saluent avec un rire.
Notre guide, Dawa, connaît chaque recoin, chaque histoire. Il m’a appris à dire “Namaste” avec le cœur.
Entre ciel, glace et sagesse, ue d’aventure !
Je pensais être trop âgée pour ce genre d’aventure… et pourtant. En mars, avec mon sac bien préparé et l’équipe toujours à l’écoute, j’ai franchi chaque étape avec sérénité.
Gokyo est un joyau brut : les lacs, les moraines, les sommets blancs, tout semble hors du temps.
À Gokyo, j’ai rencontré une famille qui m’a offert un khata en me souhaitant une longue vie. Cette simplicité m’a bouleversée. Ce trek, c’est une leçon d’humilité, de lenteur et d’émerveillement.
Un décor de carte postale à chaque étape
Ce trek est une peinture vivante. En mai, les prairies sont vertes et les yacks paissent autour des lodges. Chaque village semble suspendu dans le temps.
J’ai adoré traverser les ponts suspendus au-dessus des torrents glacés, voir les moulins à prières tourner avec le vent, et me réveiller dans les lodges en bois avec vue sur les glaciers.
L’accompagnateur francophone, Sonam, est un puits de savoir sur la culture sherpa. Ce n’est pas juste un trek : c’est une immersion. Et je repars avec le cœur léger, les jambes bien fatiguées aussi...
Un trek loin de la foule, près du ciel
J’ai choisi Gokyo pour éviter l’Everest classique… et je ne regrette rien ! En avril, les rhododendrons étaient en fleurs jusqu’à Phortse, et à partir de là, c’est la haute montagne à l’état pur.
Le moment fort : un lever de soleil sur le Gokyo Ri, seul avec mon guide, face à l’Everest, le Lhotse et le Makalu alignés comme des géants silencieux.
Un petit berger nous a offert du lait de nak à Dole – ce genre de rencontres simples vaut tous les 4000 du monde. Une vraie aventure humaine.
Gokyo, un bleu qui m’habite encore
Je n’avais jamais vu un bleu pareil. Le matin où on est arrivés au bord du troisième lac de Gokyo, j’ai pleuré. Ce silence, ces reflets parfaits, l’immensité des montagnes tout autour... rien ne m’y avait préparée.
En octobre, la lumière est incroyable et les chemins sont bien dégagés. Notre guide nous a emmenés sur une crête hors sentier où l’on a pique-niqué face au Cho Oyu. C’était irréel.
Un voyage guidé avec douceur, sans pression, plein d’attention. France Népal Voyage, vous avez mis de la beauté dans ma vie.
Mélanie,
35 ans La Rochelle Une aventure en duo mère-fille inoubliable
Nous avons vécu une parenthèse magique à deux en mars. Le Népal, c’est un autre monde. Après avoir atteint le camp de base de l’Everest, Jade m’a serrée dans ses bras et m’a dit : "Maman, je n’oublierai jamais ça."
Les ponts suspendus remplis de drapeaux, les sommets enneigés baignés de lumière dorée au crépuscule, les rivières glacées qu’on longe pendant des heures... Tout est grandiose.
Mais c’est aussi l’accueil chaleureux des habitants qui nous a marquées. France Népal Voyage, merci pour cette aventure à la fois sportive, poétique et profondément humaine.
Sophie, Jade,
52 , 21 ans Montélimar Un premier trek… et sûrement pas le dernier !
C’était mon premier grand trek, fait en mai. J’avais peur de ne pas suivre le rythme, mais l’équipe FNV adapte vraiment tout à chacun. On a fait un stop surprise dans un petit monastère isolé à Phunki Tenga où un moine m’a béni en récitant un mantra pour les marcheurs.
Le panorama depuis Tengboche au petit matin m’a coupé le souffle : le soleil éclairait l’Everest en fond avec un ciel bleu parfait, c’était irréel.
Depuis, j’ai déjà prévu mon prochain voyage au Népal avec France Népal Voyage : le Mustang me fait de l’œil.
Neige, yacks et bonheur
Partie avec deux amies en novembre, on a eu la surprise d’un bon manteau neigeux après Lobuche. Nos porteurs ont dégagé un sentier pour qu’on puisse continuer, encadrées avec patience et bonne humeur.
À Gorak Shep, nous avons ri comme des enfants en voyant une famille de yacks gambader dans la poudreuse au petit matin.
Les montagnes ? D’une majesté incroyable. On sent l’Everest se rapprocher chaque jour. Le soir, autour du poêle à bois, l’équipe nous racontait des légendes sherpas. Ce trek fut un condensé d’émotions.
Un voyage aussi intérieur que physique
Je suis parti seul en avril, à la recherche d’une expérience forte. Le trek vers l’EBC m’a offert bien plus que des paysages grandioses. Entre Namche Bazar et Tengboche, dans la brume du matin, j’ai aperçu un cerf musqué – silencieux, immobile. C’était mystique.
Les forêts de rhododendrons en fleurs, les drapeaux de prières flottant au vent, les mantras gravés sur les pierres : on marche dans un univers spirituel.
Le guide Karma m’a appris une phrase népalaise différente chaque jour. Une aventure profondément humaine et une reconnexion rare avec soi-même.
Le rêve d’une vie, enfin réalisé
Je rêvais de l’Everest depuis mes 15 ans. En octobre dernier, j’ai enfin mis les pieds au camp de base avec France Népal Voyage. Le trek est exigeant, mais chaque effort est récompensé par des panoramas à couper le souffle : au lever du soleil depuis Kalapathar, voir les sommets étincelants comme le Nuptse et l’Ama Dablam m’a littéralement fait pleurer.
Une nuit à Dingboche, j’ai partagé un thé au beurre avec une grand-mère sherpa qui m’a raconté l’arrivée de l’électricité dans son village. Ce genre de moments restent à jamais gravés. Un immense merci à l’équipe pour leur humanité et leur organisation impeccable.
Franchir les 3 passes, un sommet intérieur
Je me souviendrai toujours du 17 avril 2023 : le jour où j’ai franchi le col du Kongma La. À 39 ans, pas vraiment alpiniste, je doutais. Mais Mingma, notre guide, m’a accompagnée avec douceur. Sa voix, ses "Bistare, Émilie", m’ont portée. Là-haut, les blocs de glace semblaient posés par des géants. Des cristaux de neige dansaient dans l’air sans vent. Le soir, à Lobuche, autour d’un thé au gingembre, on a ri comme si on se connaissait depuis toujours. Les 3 passes, ce sont des montagnes, mais surtout des gens, des émotions, du courage. Avec France Népal Voyage, j’ai trouvé bien plus qu’un trek.
Un trek d’altitude mais profondément humain
Je suis parti en juillet, pendant la saison des pluies. Oui, on a eu des averses, mais entre deux éclaircies, les paysages étaient d’une intensité verte à couper le souffle. Les forêts semblaient respirer, les mousses recouvraient les pierres, et les rivières débordaient de vitalité. Les villages suspendus dans la brume donnaient au parcours une ambiance de rêve. À Phortse, nous avons dormi chez une famille qui nous a fait goûter du sel de l’Himalaya rose, récolté à la main. À 36 ans, ce trek m’a permis de vivre quelque chose de brut, de rare. J’ai ressenti une gratitude immense, chaque jour un peu plus. FNV m’a offert une aventure taillée sur mesure, humaine, respectueuse et sincère.
L’Everest, mais loin des foules
À 43 ans, j’ai voulu découvrir l’Everest à ma manière. Pas en suivant la file indienne vers le camp de base, mais en prenant les chemins de traverse. Le circuit des 3 passes m’a offert exactement cela. À Nireka Base Camp, en pleine lumière d’automne, nous étions seuls devant une vue dégagée sur le Makalu. Les versants semblaient danser entre or et rouille, parés des couleurs de la saison sèche. Le 12 octobre, jour de mon anniversaire, une petite fille à Thame m’a offert une fleur cueillie sur le sentier – une gentillesse inattendue. Ce voyage m’a touchée profondément. Merci à l’équipe FNV pour son professionnalisme et sa chaleur.
Grand froid, grand cœur, grande aventure
Je suis parti en décembre, juste avant Noël. Le froid était mordant : à Gokyo, le thermomètre flirtait avec les -20°C, mais jamais je ne me suis senti mal. Le matin, les lacs étaient gelés, d’un bleu opaque, et les paysages d’un silence absolu. Les montagnes semblaient figées dans la glace. À Renjo La, le vent nous a surpris, glaçant, mais la vue sur le Cho Oyu, Everest et Lhotse alignés dans la lumière hivernale valait chaque pas. On a partagé des biscuits bretons avec un groupe de porteurs à Lungden, fous de joie de découvrir du "Kouign-amann sec". Les 3 passes, c’est physique, mais c’est surtout humain. Bravo à l'agence pour cette aventure millimétrée.
Une leçon de vie au pied de l’Ama Dablam
Je suis partie fin mars, au tout début du printemps, quand les rhododendrons commencent à fleurir sur les sentiers de basse altitude. Chaque jour, les panoramas se faisaient plus majestueux, mais c’est au pied de l’Ama Dablam, entre Pangboche et Dingboche, que j’ai été bouleversée. Le ciel était d’un bleu dur, sans nuage, et les parois enneigées se découpaient comme au couteau. Ce contraste entre la verticalité minérale et les petites fleurs roses à mes pieds était irréel. Une grand-mère m’a tendu un collier en laine, fait à la main, après un simple échange de sourires. Ce trek, ce n’est pas qu’un défi sportif, c’est une leçon d’humanité. L’équipe FNV a été attentive, rassurante, toujours à l’écoute. J’en suis revenue différente.
Cap sur le Mustang
15 jours de ride avec France Népal Voyage direction le mythique Mustang… incroyable ! Après Pokara la route devient vertigineuse et on passe des forêts denses aux paysages arides presque lunaires.
Rouler jusqu’à Lo Mantang c’est comme traverser un vieux rêve tibétain. Le soir on se réchauffait au poêle à bois dans les lodges les pneus encore couverts de poussière.
En trek, j’avais fait l’Everest Base Camp, mais là… c’est une autre intensité. La moto donne un goût brut et aventureux au voyage.
Et cette anecdote : À Jomson, on a dû négocier le passage d’un troupeau de centaines de chèvres sur la route ! Mytique.
Des plantations de thé… à perte de vue !
J’ai choisi la formule Ilam sur 8 jours, un vrai bijou ! Les routes étaient sinueuses mais magiques etincroyablement nikel à contrario du reste du pays. J’ai longé la Sunkoshi, traversé les plaines du Téraï, dormi dans des maisons en bois au bord des plantations de thé.
Je me souviens d’un matin à Ilam : une brume fine, l’odeur du thé chaud et les premiers rayons sur les cultures en terrasse… pure poésie.
En trek j’étais montée à Poon Hill, mais là, c’est une autre émotion, celle du voyage au fil du bitume à user la gomme. L’équipe FNV est attentionnée, les machines sont au top, incroyablement solides. Une vraie aventure népalaise sur deux roues !
Élodie ,
41 ans, La Rochelle « Ma Bullet, ma liberté ! »
Je rêvais de mêler voyage en moto et immersion culturelle… ce trip était parfait ! En quelques jours, j’ai découvert les vallées autour de Katmandou, Kirtipur au petit matin, et des panoramas à Nagarkot qui m’ont tiré des frissons.
J’ai adoré cette sensation de liberté sur ma Royal Enfield, avec les sommets en toile de fond. Et en bonus : un soir, à Dhulikel, le patron de la guest house m’a montré comment faire du mo:mo à la vapeur !
En trek, j’avais grimpé jusqu’à Ghandruk, mais jamais je n’avais eu cette impression de "voler" au milieu des collines. Merci FNV, je reviens pour le Mustang l’année prochaine !
Du sommet à la jungle
Jamais je n’aurais imaginé qu’un seul pays puisse offrir autant de visages différents. Ce voyage nous a emmenés très loin, à tous les niveaux.
D’abord les merveilles culturelles : Patan, Bhaktapur, Bodnath… un défilé de joyaux architecturaux et d’émotions. Puis la montée vers le Mustang : l’arrivée dans ces paysages presque lunaires, cette sensation d’être au bout du monde, et le luxe discret de notre hôtel là-haut… on s’est sentis comme dans un rêve.
Mais le clou du voyage, pour moi, c’était le safari à Chitwan. Voir des crocodiles paresser sur les berges, croiser une biche et son petit, entendre les cris des singes au crépuscule… C’était si vivant, si vibrant.
Chaque jour était une surprise, une beauté différente. France Népal Voyage nous a permis de toucher à l’essence du pays, sans jamais renoncer au confort ou à l’authenticité. Une expérience rare et précieuse.
Luxe discret, émotions fortes
Ce que j’ai adoré dans ce voyage, c’est la manière dont tout s’enchaîne avec fluidité, sans jamais tomber dans le tourisme de masse.
Nous avons commencé dans la vallée de Katmandou, avec des visites culturelles riches et des hébergements plein de charme. Puis la route vers le Mustang… quelle claque ! Ce désert himalayen, cette ambiance tibétaine à Lo Manthang, et ce lodge luxueux perché entre ciel et terre… C’est l’un des plus beaux endroits que j’aie vus.
Chitwan a ajouté une dimension inattendue au séjour : après les sommets, la jungle ! Safari au coucher du soleil, lodge en pleine nature, chants d’oiseaux au petit déjeuner. On a même croisé un tigre à distance… frisson garanti !
Ce séjour est une ode à la diversité du Népal, avec un niveau de confort rare pour ce type de destination. Un grand bravo à l’équipe, qui maîtrise l’art du voyage sur-mesure.
Jules Ferdinan,
46 ans, Beaunes Une parenthèse d’exception dans l’Himalaya
Je rêvais depuis toujours du Népal, mais ce voyage a largement dépassé mes attentes. C’était à la fois puissant, doux, et tellement bien construit.
Le Mustang fut l’un des moments forts : les paysages lunaires, les falaises ocre, les monastères suspendus dans le silence… Nous avons eu la chance de loger dans un hôtel somptueux, entre raffinement et confort, avec une vue incroyable sur les cimes. C’était irréel.
Et puis il y a eu la jungle de Chitwan ! Monter dans une pirogue au lever du jour, croiser des éléphants sauvages, repérer une famille de rhinocéros dans la brume… J’ai eu l’impression de vivre dans un documentaire grandeur nature.
L’ensemble du séjour est un bijou d’équilibre : entre luxe, authenticité, rencontres humaines et déconnexion profonde. Mille mercis à France Népal Voyage pour ce voyage qui restera à jamais dans mon cœur.
L’amour à travers deux cultures
Ce qui nous a touchés dans ce voyage, c’est le contraste harmonieux entre les deux pays, et la profondeur de chaque expérience. On n’a pas juste vu de belles choses : on les a vécues.
Au Népal, il y avait cette sérénité partout. Que ce soit lors de nos échanges avec les habitants d’un petit village, pendant une séance de méditation dans un monastère, ou lors d’un dîner chez l’habitant face aux collines, tout semblait empreint d’humanité.
Puis l’Inde, tellement différente, mais tout aussi bouleversante : les rituels du soir sur les ghats à Varanasi, les fresques des palais moghols, le Taj Mahal que l’on a découvert au petit matin avec les yeux embués d’émotion…
On a ri, on a parfois pleuré d’émotion, on a appris sur nous deux et sur le monde. Ce voyage a été plus qu’une lune de miel : une célébration de la vie et de l’amour dans tout ce qu’ils ont de sacré. Mille mercis à France Népal Voyage pour cette expérience sur mesure.
Charlène,
29 ans, Chalon-sur-Saône Un mix parfait entre aventure et romance
Ma compagne et moi voulions une lune de miel qui nous ressemble : pas juste farniente, mais un vrai voyage, avec du sens, des paysages à couper le souffle et du partage culturel. Et ce combiné Népal-Inde a répondu à tout ça, et même plus.
On a démarré doucement au Népal, entre Pokhara et la vallée de Katmandou, avec des moments suspendus face aux montagnes, des balades dans les villages newars, et des soirées paisibles dans des hébergements authentiques. On a adoré ce mélange de nature et de spiritualité.
L’arrivée en Inde a été plus intense : la richesse historique, les couleurs partout, l’énergie débordante des marchés, les couchers de soleil sur les palais du désert… et toujours cette sensation d’être pris par la main.
Ce voyage nous a permis de vivre à deux des instants précieux, de déconnecter vraiment, tout en allant à la rencontre de deux cultures millénaires. Bravo à l’équipe pour ce bijou d’organisation !
Léon, ,
38 ans, Belfort St Cire Un voyage de noces digne d’un conte
Nous rêvions d’une lune de miel qui sorte de l’ordinaire, qui nous permette à la fois de nous émerveiller, de nous reconnecter à l’essentiel, et de découvrir ensemble un autre rythme de vie. Et ce voyage a été tout simplement magique.
Au Népal, nous avons été accueillis avec une gentillesse rare. Les ruelles anciennes de Bhaktapur, les moulins à prières de Boudhanath, et cette lumière du matin sur les sommets himalayens… c’était comme un poème en images.
Puis, en Inde, changement d’ambiance : les palais du Rajasthan, les saris chatoyants, les éléphants peints de Jaipur… tout était grandiose et flamboyant. Mention spéciale pour notre moment à Bénarès : main dans la main au bord du Gange, au lever du jour, en silence.
France Népal Voyage a su rendre chaque étape fluide, confortable et inspirante. On ne pouvait pas rêver mieux pour débuter notre vie à deux.
Un musée à ciel ouvert
Franchement bluffé par la richesse artistique de ces trois endroits. Les sculptures, les fresques, les toitures… j’avais l’impression d’être dans un décor de film. J’ai aussi beaucoup aimé discuter avec un artisan de Patan qui faisait des statuettes à la main. Le guide traduisait tout avec patience. Une belle journée, intense mais jamais trop.
Théodore,
26 ans, saint Pierre Une immersion culturelle dense mais fluide
J’avais peur que faire trois sites majeurs en une seule journée soit trop chargé, mais c’est parfaitement pensé. On commence par la spiritualité en hauteur, puis on redescend dans l’histoire royale et artisanale. Chaque arrêt est rythmé, bien expliqué, et il reste même du temps pour flâner un peu. Super organisation, groupe agréable, et beaucoup de découvertes.
L’esthétique népalaise dans toute sa splendeur
Je suis photographe amateur, et j’en ai pris plein les yeux. Chaque lieu était une composition parfaite : la lumière matinale à Swayambhu, les scènes de rue à Durbar, les détails des temples de Patan… J’ai même eu un petit coup de cœur pour une cour intérieure cachée. À faire absolument si vous aimez capturer l’âme d’un pays.
Trois visages d’un Népal millénaire
Cette journée fut un véritable voyage à travers le temps. Le stupa de Swayambhunath m’a émue par sa sérénité, Durbar Square m’a captivée avec ses palais anciens, et Patan m’a impressionnée par son raffinement. Tout est proche, mais chaque site a une âme propre. Merci à notre guide passionné qui a su nous faire lire entre les pierres et les statues.
Isabelle,
58 ans, La Roche-sur-Yon Des singes sacrés à l’art newar
Grimper les marches de Swayambhu au petit matin, entouré de singes curieux et de drapeaux de prières, c’est déjà magique. Mais enchaîner ensuite avec Durbar Square et Patan dans la même journée, c’est comme feuilleter un vieux livre d’art en version vivante. J’ai adoré la richesse des détails architecturaux et l’énergie unique de ces lieux, entre ferveur et quotidien.
Romain paul,
29 ans, Rodez Un concentré d’Himalaya, sans trek !
Je ne suis pas randonneur, mais je voulais ressentir quelque chose de vrai, de profond, au Népal. Cette excursion m’a totalement conquis. On passe de la spiritualité boudhiste à l’univers hindou avec fluidité, avant d’atterrir dans une ville-musée magnifique. Un voyage intérieur et culturel en une seule journée, c’est rare. Je recommande à 100 %.
jean bastien,
35 ans, Belfort Une journée qui marque profondément
Ce que j’ai vécu durant cette journée est difficile à décrire : c’était à la fois bouleversant et apaisant. L’ambiance mystique de Bouddanat au lever du soleil, l’intensité de Pashupatinath où l’on sent que la vie et la mort se parlent puis l’élégance historique de Patan… Chaque lieu m’a offert une émotion unique. Un grand merci à notre guide pour sa sensibilité et ses explications.
L’essence du Népal en une journée
En une journée on traverse les deux grandes traditions spirituelles du Népal car on marche dans des lieux millénaires et on sent battre le cœur de la vallée. J’ai été impressionné par la cohérence du parcours et la richesse des échanges avec notre guide francophone. Un vrai concentré d’émotions de culture et de silence sacré
Armand,
60 ans, La Roche-sur-Yon Une immersion en une journée
Je ne pensais pas qu’une seule journée pouvait offrir autant de profondeur. Bouddanat m’a apaisée, Pashupatinat m’a remuée, et Patan m’a fascinée. Le contraste entre ces trois lieux est saisissant, mais tout s’enchaîne naturellement. C’est un trip qui touche l’âme, pas juste les yeux. Merci France Népal Voyage pour cette belle parenthèse.
Voyage dans l’âme du Népal
C’est un condensé parfait du patrimoine sacré népalais. On commence la journée dans la ronde tranquille des pèlerins autour de Bouddhanath, on plonge dans la puissance rituelle de Pashupatinath, et on termine dans les ruelles élégantes et rouges de Patan. Le tout sans courir, avec un guide passionné qui nous a vraiment transmis l’esprit des lieux.
Trois lieux – trois émotions
Difficile d’imaginer une journée aussi riche. À Baouddha j’ai ressenti une douceur presque maternelle. À Pashupatinath c’était l’émotion brute avec les cérémonies funéraires et les prières vibrantes. Coeurs fragiles s'abstenir certaines scènes pouvant être choquantes. Et puis Patan un joyau figé dans le temps a fini de m’émerveiller. Ce circuit est une vraie leçon d’humanité et de beauté.
Une journée spirituelle et inoubliable
Ce trip d’une journée m’a donné l’impression d’avoir voyagé à travers plusieurs siècles et religions. Bouddhanath m’a enveloppé d’une paix profonde, Pashupathinat m’a confronté au cycle de la vie avec dignité, et Patan m’a offert une parenthèse architecturale magique. Le rythme était parfait, les explications passionnantes. J’en suis ressorti plus serein, et vraiment touché.
Gaspard,
38 ans, Angoulême Katmandou, un monde caché dans le monde
C’est une ville multiple. J’ai vu des temples vieux de mille ans à côté d’une gargote qui servait le meilleur thé masala de ma vie. On suivait le rythme de la ville : lever avant l’aube, chants des moines, allées poussiéreuses baignées de soleil. Cette immersion m’a donné l’impression de vivre une aventure intérieure, comme un pèlerinage discret dans une ville sacrée.
Bastien,
57 ans, Saint-Brieuc Entre temples et ateliers
On a eu la chance de visiter des ateliers d’artisans qu’on n’aurait jamais trouvés seuls : un sculpteur sur bois, une brodeuse de drapeaux de prières, un fabricant de flûtes. Chacun nous accueillait comme des invités, pas comme des clients. Ce séjour m’a reconnectée à la beauté des gestes simples, à la magie du quotidien.
Une expérience sensorielle
Ce voyage m’a réveillé les sens : les odeurs d’encens, le goût des momos mangés sur le pouce, les éclats de voix dans les cours intérieures… Katmandou est une ville dense, mais ici on a appris à la traverser en douceur, à ralentir. C’est un art de vivre. Je suis revenu changé
Une ville-labyrinthe, un trésor à chaque coin de rue
Avec notre guide, on a évité les artères touristiques. On a plongé dans les quartiers anciens, là où les fenêtres sculptées parlent d’histoires centenaires. On s’est arrêté boire un thé sur une placette cachée, écouté un vieux forgeron raconter sa vie. J’ai senti le vrai cœur de Katmandou battre, loin du bruit des scooters.
Katmandou autrement
Je connaissais Katmandou de nom, ses temples, ses stupas… mais là, j’ai découvert la ville dans la ville. Le matin, on partait explorer des ruelles oubliées, on a croisé des artisans au travail, des enfants jouant entre deux sanctuaires. Ce n’était pas un simple city tour, c’était un voyage dans une dimension parallèle, pleine de poésie.
Le temps suspendu
J’ai adoré ce silence plein de vie dans l’atelier. Pas de bruit de moteur, juste le pinceau, le frottement du crayon sur le coton. On m’a appris à préparer moi-même les pigments, à tracer le Bouddha selon les proportions exactes. C’était lent, mais ça m’a reconnecté à quelque chose de profondément humain. Je garde cette expérience comme un bijou.
Une méditation en pigments
Les premiers jours, j’étais tendu, perfectionniste. Puis j’ai compris que ce n’était pas la réussite du dessin qui comptait, mais ce qu’il révélait de moi. L’atelier baignait dans une lumière douce, on chantait parfois des mantras pendant qu’on peignait. J’ai vécu une vraie transformation. J’ai encore le regard du maître dans les yeux : bienveillant, exigeant, profondément humain
Clément,
45 ans, La Roche-sur-Yon La précision du geste, la paix de l’esprit
C’est fou comme peindre un cercle peut vous recentrer. Mon maître thangka m’a appris à tracer avec calme, à respirer entre chaque trait. Ce n’était pas juste un atelier : c’était une vraie retraite intérieure. Chaque couleur, chaque forme avait un sens. J’en suis repartie apaisée, avec mon propre mandala enroulé dans mon sac comme un trésor.
Une leçon d’humanité à chaque repas
Ce n’est pas juste un hébergement : c’est un échange. La famille m’a invitée à une cérémonie hindoue, m’a prêté un sari pour l’occasion, et m’a traitée comme une nièce de retour au pays. Même avec peu, ils m’ont tout donné. À la fin, la mère m’a glissé un bracelet tressé en me disant : “Tu es chez toi ici maintenant.” J’en ai pleuré.
Coqs, buffles et éclats de voix
Ma chambre donnait sur la cour. Tous les matins, j’étais réveillé par les coqs et les rires des enfants qui couraient après les buffles. J’ai aidé à préparer les momos, j’ai creusé un petit sillon dans le champ avec le père, et j’ai bu le meilleur raksi (alcool local) de ma vie avec les oncles du village. Un séjour 100% vivant.
Une lessive à la rivière, entre femmes
J’ai accompagné la famille au bord d’un petit torrent pour faire la lessive à la main. On riait, on parlait par gestes, et j’ai appris qu’il n’y a pas besoin de langue commune pour partager un vrai moment. Le soir, j’ai joué aux cartes avec le grand-père sous une lampe à pétrole. Ce séjour m’a reconnecté à l’essentiel.
Un thé au gingembre et mille sourires
En arrivant dans la maison, la maman m’a tendu un thé fumant et un foulard en guise de bienvenue. Le papa m’a appris à dire "Namaste" correctement, et les enfants m’ont montré comment se laver au robinet du jardin. Rien de luxueux, tout était sincère. Ce voyage, c’est comme si on m’avait ouvert non pas une porte, mais un cœur.
Le curry de légumes, comme une œuvre d’art
C’est une petite mamie qui m’a tout appris. Elle coupait les légumes à la serpette, sans planche, en discutant avec moi de ses poules et des moissons. Elle dosait les épices comme un chef étoilé. Résultat : un curry de courge au fenugrec, que je n’oublierai jamais. On mangeait à la main, assis au sol, avec les enfants. La simplicité m’a touché droit au cœur.
Lazare,
27 ans, Périgueux Un potager suspendu dans les collines
Là-haut, tout pousse à flanc de montagne : tomates, haricots, épinards... tout est vertical ! Avec la famille qui m’accueillait, j’ai fabriqué un compost naturel, planté un arbre fruitier, et compris pourquoi les Népalais disent que “la terre rend ce qu’on lui donne”. J’ai adoré cette approche “slow”, sans engrais ni machines, juste les mains et le soleil.
Dormir sous un toit de chaume
La première nuit, je me suis endormie dans une maison en pisé, entourée d’un jardin médicinal. Les murs étaient enduits à la bouse séchée (oui oui !) et les ustensiles suspendus comme dans un musée vivant. Ici, rien ne se perd : les feuilles deviennent assiettes, les cendres nettoient les casseroles, et les graines se partagent entre voisins. J’en suis repartie humble.
Le chant des coqs et l’odeur de la terre
J’ai troqué mon ordinateur contre une bêche pendant 10 jours, et je n’ai jamais été aussi vivante. À l’aube, les femmes chantaient dans les champs en plantant le riz pieds nus. Le soir, on préparait ensemble un “dal bhat” au feu de bois. J’ai découvert une vie simple, rythmée par la nature, et surtout des sourires sans rien attendre en retour.
Ensemble, malgré nos différences
Ce séjour m’a reconnecté à moi-même. J’ai un trouble moteur et je n’aurais jamais cru possible un tel voyage : balade sensorielle dans la vallée, visite de temples accessibles, nuits partagées dans des maisons d’hôtes familiales… Ce qui m’a le plus marqué ? Le regard des Népalais, jamais gêné, toujours accueillant. J’ai compris là-bas que mon handicap ne définissait pas mon voyage.
Théo,
22 ans, Saint-Étienne Shivapuri à notre rythme
Je souffre d’une fatigue chronique qui limite mes déplacements. Pourtant, le jour de notre randonnée à Shivapuri, tout a été pensé : rythme doux, portage si besoin, haltes dans des monastères paisibles… J’ai pu méditer dans une clairière, pendant que les autres exploraient un peu plus loin. Aucun jugement, juste de la bienveillance. Une vraie parenthèse verte et humaine.
Une marche solidaire au Mustang
J’ai participé à la marche solidaire au bas Mustang avec mon fils, en situation de handicap léger. Ce n’était pas qu’un voyage, mais une aventure humaine : des pauses en lodge tenus par des familles locales, des moments de silence face aux paysages rouges du Mustang, et des soirées à discuter avec les habitants. Ce lien créé avec les gens sur place… c’est ça le vrai luxe
Sylvain,
57 ans, Brive-la-Gaillarde Bhaktapur, comme un saut dans le temps
Je me déplace en fauteuil manuel, et j’étais inquiète à l’idée de visiter une ville ancienne. Eh bien… Bhaktapur m’a émerveillée. Des accès aménagés, un guide patient et passionné, et surtout cette sensation de plonger dans un autre siècle. On a même pu partager un yaourt local “juju dhau” dans une cour où les potiers faisaient tourner leurs tours. Magique.
Faustine,
46 ans, Besançon Un trek, oui… et accessible !
Je suis malvoyant, mais avec France Népal Voyage, j’ai pu faire mon tout premier “trek” dans les collines de la vallée de Katmandou. Pas besoin de viser les sommets : chaque sentier était adapté, sécurisé, et accompagné par une équipe en or. Le guide me décrivait les paysages, les sons, les odeurs. Je n’ai pas vu les montagnes, mais je les ai vécues autrement.
Gaspard,
34 ans, La Roche-sur-Yon Une immersion culturelle sans filtre
Mon ONG m’a intégrée dans un projet de documentation du patrimoine oral newar. J’accompagnais une ethnologue locale, enregistreur à la main, dans les ruelles de Patan. J’ai rencontré un joueur de flûte qui connaît l’histoire de chaque stupa du quartier. Le soir, je retranscrivais les interviews autour d’un thé au gingembre… C’est une autre manière de voyager, profondément respectueuse.
Écouter les enfants autrement
J’ai travaillé dans une petite ONG sociale auprès d’enfants des rues. L’approche était douce, non intrusive, et très humaine. Ce n’était pas une “mission sauvetage”, mais une présence, une écoute. Un jour, une petite fille m’a tendu un dessin avec mon prénom écrit en devanagari. J’ai réalisé que dans ce voyage, c’était surtout moi qui recevais.
Commerce équitable et artisanes inspirantes
J’ai passé trois semaines dans une coopérative artisanale dirigée par des femmes incroyables. Elles m’ont appris à broder sur du chanvre local et à comprendre le fonctionnement du commerce équitable à leur échelle. Loin des clichés, ces femmes étaient à la fois artistes, gestionnaires, et piliers de leur communauté. J’en repars pleine d’admiration… et de projets
Le Népal m’a appris à enseigner autrement
J’ai été accueilli dans une école publique de la vallée de Katmandou. Chaque matin, je donnais un coup de main en anglais, mais aussi en français ! Les enfants m’attendaient avec des carnets faits main, et on échangeait autant par les dessins que les mots. Un jour, on a même chanté “Frère Jacques” tous ensemble, version trilingue… fou rire garanti !
Des briques et des sourires
Je pensais venir prêter main-forte à un projet de construction d’un petit centre communautaire à Bungamati. En fait, j’ai surtout appris à écouter, à rire malgré la barrière de la langue, et à faire de la maçonnerie… à la népalaise ! J’ai encore l’image de ce papy de 70 ans qui posait les briques plus vite que moi. Une claque d’humilité, et un vrai sentiment d’utilité.
Éléonore,
19 ans, Le Mans Goûter l’histoire, une bouchée à la fois
Notre guide nous a emmenés déguster un BARA RA ALOO dans une cantine familiale près de Indra Chowk. Juste avant, on avait visité un temple caché accessible par une ruelle en chicane que seuls les locaux connaissent. L’harmonie entre les pierres anciennes, les odeurs de bouillon et les conversations animées autour de nous… c’était comme manger au cœur d’un roman.
La cuisine des femmes, la fierté d’un quartier
On a cuisiné dans la cuisine d’une ONG locale qui soutient des femmes en reconversion. J’ai appris à faire des sel rotis (galettes sucrées crousti-moelleuses) pendant que l’une des femmes nous racontait comment la cuisine lui a redonné confiance en elle. C’était un moment fort, avec des rires, des gestes partagés… et des parfums inoubliables.
Une bouchée, mille sensations
On a goûté à un samosas si épicé dans une échoppe de NewRoad que j’ai dû boire un "lassi" d’un trait pour m’en remettre ! Le patron en a ri et m’a ensuite servi une version plus douce… Le tout dans une ambiance joyeuse avec des odeurs de gingembre, d’encens, et le bruit des klaxons au loin. C’est toute la ville qui entre dans l’assiette. Attention au épices donc !
Sébastien,
31 ans, Chartres Daal Bhat et briques rouges
Ce que j’ai adoré dans ce parcours c’est qu’il mêle gastronomie et patrimoine vivant. Entre deux dégustations (mention spéciale au "selroti" fumant de Indra Chowk !), on m’a fait découvrir une cour newar cachée derrière une porte sculptée du XVe siècle. Il y avait là des femmes qui cuisinaient en chantant, comme hors du temps. Une vraie immersion.
Des traditions à fleur de peau
On a assisté à Tihar avec des enfants d’une école soutenue par l’agence… Un moment d’une douceur inoubliable. Guirlandes de fleurs, chants, sourires. Entre les balades en pleine nature et les moments de fête, ce voyage est une ode à la joie et au lien humain. Bravo à toute l’équipe
Le rythme d’un peuple
Chaque fête a sa musique, sa symbolique, son énergie. J’ai adoré suivre le guide dans les ruelles animées de Bhaktapur, puis me retrouver, au calme, à écouter les explications sur le sens des rites. Tout est bien pensé, on ne se sent jamais intrus, mais bien invité.
Entre légendes et tambours
Je ne m’attendais pas à être autant transporté. Les festivals sont vécus ici comme une évidence, entre spiritualité et liesse populaire. Voir les processions au clair de lune, entendre les mantras, danser avec les villageois… C’est comme entrer dans un conte vivant.
Une explosion de couleurs et de sens
Participer à Dashain au cœur d’une famille locale a été un moment magique. J’ai découvert une culture qui célèbre la vie à travers les rituels, les danses et les repas partagés. Je suis rentrée changée, touchée par l’hospitalité et la profondeur de ces traditions.
Le bouddhisme en vrai, sans folklore
Ce que j’ai aimé ici, c’est l’authenticité. Pas un spectacle pour touristes, mais une plongée vraie dans le bouddhisme vivant. On a visité des temples tibétains, birmans, japonais… On a discuté avec des pratiquants, écouté des chants, participé à des offrandes. Un moment fort, humain, et profondément respectueux.
Un bol de silence
Moi qui vis à cent à l’heure, j’ai découvert à Lumbini un autre rapport au temps. On y apprend à se taire, à observer, à respirer. J’ai adoré les discussions du soir avec notre guide, toujours bienveillant. Une expérience rare, que je recommande à tous ceux qui cherchent à se retrouver.
Chantal,
61 ans, Lausanne Sur les traces d’un éveil
J’ai toujours été fasciné par la vie du Bouddha. Voir son lieu de naissance, découvrir les différents monastères du monde entier construits dans le respect de son héritage, m’a bouleversé. Ce voyage, c’est plus qu’un itinéraire : c’est une quête douce et sincère.
Damien,
53 ans, Angoulême Un voyage au cœur de soi
Ce séjour m’a permis de reconnecter avec l’essentiel. Les méditations guidées, les rencontres avec les nonnes dans leur monastère, l’atmosphère unique du Maya Devi Temple… Tout m’a poussée à ralentir, à écouter, à simplement être. Merci à l’équipe pour cette immersion humaine et spirituelle.
Yasmina,
32 ans, Bruxelles Une paix inattendue à chaque pas
Lumbini m’a cueilli. Je ne suis pas pratiquant, mais ce lieu a une vibration particulière. Marcher sur les traces du Bouddha, au lever du soleil, entouré de moines en prière et de jardins silencieux… c’est une émotion brute, que je ne pensais pas ressentir si intensément.
Jérôme,
45 ans, Saint-Brieuc Émerveillement permanent au Bhoutan
Du dzong de Punakha au célèbre nid du tigre, tout semblait irréel. Chaque panorama était une carte postale vivante. Et ce qui m’a le plus marqué, c’est la sincérité des gens, leur douceur, leur calme… ça force le respect. Le confort du voyage était top, mais c’est l’ambiance qui m’a le plus touché.
Un voyage intérieur, sans le chercher
Je suis partie sans attente particulière, juste une envie de beauté et de nature. Je suis revenue transformée. Le Bhoutan ne donne pas de leçons, il inspire. Les forêts, les visages, les traditions : tout pousse à ralentir, à se recentrer, à respirer. Merci à France Népal Voyage pour cette parenthèse magique.
Lina,
29 ans, La Rochelle Des temples et des sourires
Chaque jour, une émotion. Le Bhoutan, c’est ce pays où les enfants vous saluent avec un regard clair, où les moines prennent le temps de rire avec vous, et où la nature vous enveloppe d’un calme quasi mystique. Je n’imaginais pas que le bonheur pouvait être si… silencieux.
Un autre rythme, une autre sagesse
Ce voyage m’a remise à l’endroit. Entre les balades dans les rizières, les monastères suspendus dans les nuages et les échanges profonds avec nos guides bhoutanais, j’ai découvert un monde qui ne court pas après la productivité mais cultive le contentement. Inoubliable.
Des momos 5 étoiles !
Atelier cuisine dans un hôtel boutique à Patan avec un chef local ultra pédagogue. Produits frais, gestes précis, anecdotes sur chaque ingrédient… et surtout un cadre sublime pour dresser nos assiettes ! Un vrai moment de gastronomie dans un décor raffiné, sans prétention. Le genre d’activité parfaite pour mêler plaisir et découverte culinaire.
Un dal bhat comme à la maison
J’ai cuisiné chez Manju, dans sa propre cuisine, avec ses ustensiles, ses secrets et ses sourires. On a partagé un vrai moment de complicité, entre femmes. J’ai appris à doser les épices à l’œil et à préparer des momos comme une pro. Le repas pris ensuite avec sa famille était une vraie leçon de vie. Une demi-journée simple, mais profondément humaine.
Claire,
37 ans, Strasbourg Une dégustation dans un palais royal… inoubliable
On a dégusté différents grands crus dans un ancien palais newar restauré, tout en écoutant le producteur raconter l’histoire de sa plantation. J’ai été bluffé par la diversité aromatique du thé népalais, bien loin des idées reçues. On est repartis avec une jolie boîte souvenir gravée à la main, et une sélection personnalisée de sachets. Chic, rare, local. Un vrai bijou de séjour.
Dormir au cœur des plantations, réveil parfumé garanti
J’ai vécu deux nuits sous tente de luxe, installée en plein cœur d’une mer de théiers. Se réveiller avec les brumes d’Ilam, marcher pieds nus dans les feuilles humides, et finir la journée avec une dégustation au coucher du soleil… Magique ! On sent un profond respect de la nature et du travail artisanal. Le thé n’est plus juste une boisson pour moi, c’est une culture vivante.
Entre tradition et audace : un Népal inattendu
J’ai choisi la formule journée (depuis Katmandou), et j’ai été bluffée. En une journée : visite d’un verger expérimental, dégustation dans une cour de style newar, et découverte d’un fromage affiné localement, entre brebis et vache. Tout est fait avec le cœur. On sent que c’est un projet jeune, mais plein d’avenir. Pour moi, c’était l’un des moments les plus surprenants de mon voyage.
À la rencontre de l’agro-artisanat népalais
Ce séjour m’a fait rencontrer des passionnés qui créent du vin au pied des Annapurnas ou du fromage au lait de yack dans la vallée de Nuwakot. Ce n’est pas qu’une aventure gustative : c’est un voyage à travers le Népal rural, discret, mais très vivant. Le must : la visite d’un tout petit chai en terrasse, avec vue sur les montagnes et coucher de soleil sur les vignes. Inattendu et mémorable.
Matthieu,
50 ans, Bruxelles Vin de pomme de Manang : le goût d’ailleurs
La découverte du vin de pomme a été une claque ! Léger, fruité, mais avec un vrai caractère. On sent que ce savoir-faire est tout récent ici, mais ça n’enlève rien à la passion des producteurs. Le cadre : des vallées à couper le souffle, et des dégustations dans des lieux inattendus. Ce n’est pas juste un trip “gastro”, c’est une immersion dans le Népal d’aujourd’hui, celui qui innove et ose.
Une route des saveurs au pied de l’Himalaya
J’ai opté pour la version longue du séjour (1 semaine) et je ne regrette rien. On a visité des petits vergers, des caves expérimentales, une fromagerie artisanale dans la vallée de Katmandou, et même goûté à un brandy du Mustang ! C’est fou de découvrir un Népal agricole en pleine effervescence. Le guide connaissait chaque producteur, c’était très intime, presque familial. Un vrai voyage sensoriel.
Julien,
43 ans, St brieuc Une dégustation royale dans un ancien Durbar
Jamais je n’aurais imaginé déguster un vin népalais dans une salle du Durbar Palace ! L’ambiance était magique : entre pierres anciennes, sculptures traditionnelles, et verres de vin de Pokhara ou de pomme du Manang. Le tout accompagné d’un fromage local doux et surprenant. Ce voyage m’a ouvert un nouveau regard sur le Népal : raffiné, agricole, et inventif. Une parenthèse inédite.
Une dose d’adrénaline dans un décor de rêve
Le Népal, je l’imaginais surtout pour les treks. Mais ces activités extrêmes, c’est une autre façon de découvrir le pays. Le saut à l’élastique m’a sortie de ma zone de confort comme jamais. Et juste après, la tyrolienne, c’est comme un vol au-dessus du monde. C’était court mais intense, le genre de défi qui te fait te sentir vivant·e. Merci à toute l’équipe pour l’ambiance et l’organisation au top.
La tyrolienne la plus folle de ma vie
Je pensais avoir tout vu côté sensations, mais cette tyrolienne au Népal m’a scié. Ultra rapide, au-dessus de la jungle et des rivières, avec un paysage grandiose qui défile à toute vitesse. J’avais l’impression de voler, littéralement. Et l’encadrement local est hyper pro, on se sent en sécurité tout en vivant une vraie montée d’adrénaline. À faire et refaire !
Un saut dans le vide… et dans la vie !
Je n’avais jamais fait de saut à l’élastique de ma vie. Le faire ici, au-dessus d’un canyon népalais avec les montagnes en toile de fond, c’est clairement une expérience inoubliable. J’ai hurlé, j’ai ri, j’ai pleuré un peu après. On est suspendu dans l’instant, avec le cœur qui bat à fond. L’équipe était super rassurante, pro et bienveillante. Un moment qui restera gravé à jamais.
Rouler dans la vallée de Katmandou, version slow
Je ne m’attendais pas à aimer autant la vallée de Katmandou à vélo. Et pourtant, les petites routes rurales, les temples isolés, les rizières vert fluo… m’ont complètement charmée. C’est un circuit plus doux que le Mustang ou les Annapurnas, mais tellement riche en rencontres. Dormir chez l’habitant, partager un thé masala au bord du chemin, saluer les enfants à vélo… C’est cette simplicité-là que je venais chercher
Tour des Annapurnas version VTT, intense & grandiose
J’avais fait le Tour des Annapurnas à pied il y a 10 ans. Revenir en mode VTT avec FNV, c’était une autre dimension. On passe des rizières de basse altitude aux plateaux himalayens en quelques jours. L’approche est plus dynamique, plus engagée aussi, mais les temps de pause sont bien pensés. J’ai adoré l’étape vers Manang, et le passage du Thorong La à vélo… mythique. Je repars rincé, mais heureux.
Pokhara, point de départ magique
Avant même de grimper sur le VTT, j’étais déjà conquise par Pokhara : lever de soleil sur le lac, Annapurnas en fond, ambiance détendue. Et dès qu’on a pris de l’altitude, j’ai compris qu’on allait vivre une belle aventure. Les pistes alternent entre forêts subtropicales, petits cols, et villages où le dal bhat réconforte comme jamais. Un mix parfait entre sport, culture et paysages. Et franchement, rouler au Népal, c’est addictif !
Julie,
28 ans, Saint Sébastien Des sentiers lunaires dans le Bas Mustang
J’avais vu des photos du Bas Mustang, mais y pédaler… c’est autre chose. Entre les canyons ocre, les villages tibétains perchés, les manis sculptés au détour d’un virage… on a l’impression de rouler sur une autre planète. L’altitude, les lumières du soir, et ce silence si particulier donnent une intensité rare à l’effort. On a eu des montées costaudes, oui, mais aussi des descentes grisantes. Et l’équipe locale était en or, toujours à l’écoute
La montagne autrement
Je suis plutôt marcheuse à la base, mais ce vol m’a offert un tout autre rapport à l’Himalaya. Le calme en altitude, les vautours qui passent juste à côté, les rizières minuscules en bas… C’est poétique. FNV a été au top : organisation fluide, prise en charge douce, pas de stress. Mon pilote m’a même montré sa maison depuis les airs ! Une expérience unique qui m’a donné le sourire pour toute la journée
Une bouffée d’air et de liberté
Voler au-dessus de Pokhara, c’est un rêve d’enfant devenu réalité. La sensation de flotter dans les airs, avec les Annapurnas en toile de fond, c’est quelque chose qu’on ne peut pas décrire… juste vivre. Tout était parfaitement encadré, avec un pilote népalais ultra pro et rassurant. Ce n’est pas juste un “truc à sensations” : c’est un moment suspendu, où le temps s’arrête. Je referais ça mille fois
Revenir à soi, doucement a mon rythme
Je craignais un côté trop rigide ou trop religieux, mais cette retraite a été tout sauf ça. C’est une proposition d’écoute, de recentrage. Dormir dans une cellule monastique, participer aux rituels, s’imprégner du quotidien des moines... Il y a une grande humilité dans ce lieu. Je suis repartie avec une sensation de paix que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. Aucun dogme, juste une atmosphère. Et un cadre naturel à couper le souffle
Une expérience rare et précieuse
Vivre quelques jours au sein d’un monastère bouddhiste, ce n’est pas un voyage ordinaire. Ce n’est pas non plus du tourisme spirituel. C’est un moment suspendu, entre soi et l’environnement. Ce que j’ai le plus aimé ? Le silence, la lenteur, et les regards pleins de bienveillance. Les repas pris ensemble sans un mot, les chants tibétains, la lumière du matin sur la cour du monastère. On ressort de là changé, en douceur. Merci à France Népal Voyage pour cette porte ouverte vers l’essentiel.
Jean-Baptiste, ,
38 ans, Niort Une parenthèse de silence
J’étais épuisée, mentalement surtout. Cette retraite m’a offert un silence dont je ne mesurais pas à quel point j’en avais besoin. Les journées sont rythmées, mais jamais pesantes : méditation, marche, repas simples. Les échanges avec les moines m’ont beaucoup marquée. Ils ne cherchent pas à "enseigner", juste à partager leur façon d’être. L’encadrement FNV est discret mais sécurisant. Ce séjour m’a reconnectée à quelque chose de calme et profond en moi.
Sophie, ,
42 ans, La ciota Une pause intérieure en couple
On cherchait à se déconnecter, on a trouvé bien plus. Vivre quelques jours dans un ashram, c’est accepter de ralentir, d’écouter et de ressentir. La nourriture végétarienne simple, les moments de silence, les discussions sur le sens de la vie… Ce n’était pas juste un voyage, c’était une pause intérieure. On est repartis plus légers, avec une nouvelle façon de voir notre quotidien. Merci à l’équipe FNV de nous avoir permis de vivre ça avec autant de naturel et de liberté.
Mathilde & Benoît,
29 et 32 ans, Brest Revenir à l’essentiel
Je ne pensais pas qu’un séjour aussi simple changerait autant ma perception du quotidien. Les journées rythmées entre yoga, méditation et échanges dans l’ashram m’ont ramenée à l’essentiel. Une séance au lever du soleil, encore emmitouflée dans ma couverture, avec les chants du temple en fond… c’est un souvenir que je garde dans la peau. L’équipe de France Népal Voyage est restée discrète mais toujours bienveillante. Pas de dogme, pas de performance, juste une expérience humaine, forte et douce à la fois.
Rafting pour une déconnexion
On cherchait une vraie coupure, entre mecs, loin de la ville, loin des téléphones. C’est exactement ce qu’on a eu : pas de réseau, mais une vraie connexion avec la rivière, la nature, les autres. Le rafting, c’est du fun, mais ici c’est aussi un décor de cinéma. Un jour, on a croisé des singes sur la rive pendant un rapide, on s’est tous retournés en pleine action ! Et le soir, discussions autour du feu, les pieds dans le sable. C’est devenu notre rituel. Le trip parfait pour ceux qui veulent se mouiller – dans tous les sens du terme.
Tarek, ,
34 ans, Marseille sensations de rafting
On voulait un voyage original, entre nature et action. Ce rafting au Népal a été l’un des plus beaux moments de nos vies. Pagayer à deux, crier dans les rapides, rigoler en s’éclaboussant… c’était génial. Mais aussi les temps calmes : on laissait le raft dériver, les montagnes autour, les aigles au-dessus. Une après-midi, on s’est arrêtés dans un village en bord de rivière, les enfants nous faisaient coucou en courant sur les berges. On a partagé un thé local, trempés et heureux. Ce voyage, c’est plus que du rafting : c’est une immersion dans le vivant.
Manon & Hugo, ,
30 et 32 ans, La Rochelle amateur d’eau vive en kayak
C’était mon premier trip kayak hors Europe, et j’ai été bluffé. L’eau vive népalaise, c’est une autre histoire : puissante, imprévisible, vivante. On alternait passages techniques et sections plus calmes avec des vues incroyables. Mais ce que j’ai préféré, c’est ce bivouac sauvage sur une plage de galets, feu de camp, et ciel étoilé comme je n’en avais jamais vu. L’équipe était au top, le matos aussi. Le courant m’a emporté, mais dans le bon sens : je suis revenu gonflé à bloc, avec l’envie de repartir direct.
Canyoning amazing au Népal !
Je suis parti chercher des sensations, et j’ai été servi : descentes en rappel le long de cascades rugissantes, sauts dans des vasques d’eau turquoise, glissades naturelles... Mais ce qui m’a surpris, c’est le décor. T’es au milieu d’une forêt tropicale, entouré de montagnes immenses, avec des papillons partout et un guide qui chante du Bob Marley en descendant. J’ai adoré l’ambiance du groupe : décontractée mais solidaire. À la fin, autour du feu, on avait tous l’impression de se connaître depuis une semaine. C’est plus qu’un trip sportif : c’est une parenthèse de liberté.
Maxime, ,
27 ans, Toulouse La grimpe entre potes, un autre Himalaya.
On est partis à cinq copains du club pour se faire un trip hors norme. Et franchement… c’était au-delà de ce qu’on imaginait. On a grimpé tous les jours dans des décors de rêve, trekké jusqu’à des petits villages perchés, mangé des plats épicés au coin du feu, et dormi dans des lodges avec vue sur les glaciers. Mais ce qui a marqué le groupe, c’est une session grimpe avec des ados népalais venus voir nos techniques. On leur a filé notre magnésie, ils nous ont appris à rigoler sans parler la même langue. Le lien était là. C’est ça, l’aventure.
Plus près du ciel himalayen
En tant que grimpeuse aguerrie, je voulais tester les falaises népalaises… mais aussi garder un peu de confort. Ce séjour était parfait. J’ai alterné entre sessions indoor bien équipées et sorties nature dans des coins sauvages, pas touristiques du tout. Ce que je retiens surtout, c’est une journée dans une forêt brumeuse où on a grimpé sur une paroi au milieu des chants d’oiseaux et des encens d’un petit temple voisin. Une ambiance incroyable, presque mystique. J’ai aussi adoré discuter avec les jeunes grimpeurs locaux qui partagent leur passion avec une générosité désarmante.
Séjour complet Climb & Chill
On cherchait une aventure sportive mais pas extrême. Ce voyage combinait exactement ce qu’il nous fallait : un bon mix entre grimpe, rando, détente, et immersion. Les paysages étaient dingues : rivières turquoise, pins géants, sommets enneigés… Mais ce qui nous a le plus touchés, c’est la simplicité des Népalais. Une nuit, un villageois nous a invités à goûter son alcool de millet autour du feu. Il ne parlait pas anglais, mais on a partagé des rires sans mots. C’est ce genre de moment qui donne un sens profond au voyage. Et la grimpe ? Juste géniale !
Justine & Matthieu,,
32 et 35 ans, Nantes Formidable journée solo – indoor
J’étais de passage à Katmandou et je voulais grimper sans forcément partir en montagne. J’ai trouvé un lieu super accueillant où l’ambiance était aussi verticale que chaleureuse. Ce que j’ai adoré, c’est l’énergie du lieu : des grimpeurs locaux, des expats, des voyageurs... tout le monde échange, s’encourage, rigole. J’ai progressé techniquement, mais j’ai surtout rencontré des gens formidables. Après chaque séance, on se retrouvait pour boire un tchai ou manger un dal bhat dans le quartier. Je ne pensais pas vivre une vraie aventure humaine en faisant de l’indoor, mais ce séjour m’a prouvé le contraire !
Hugo, ,
26 ans, Montpellier Parc national de Chitwan : Safari
L'ambiance du groupe était extraordinaire. l'équipe très proche de nos attentes et dynamique !
Mais voir un rhinocéros traverser la rivière juste devant notre pirogue, c’est le genre de moment où tu oublies que ton téléphone existe. Tout le séjour avait ce goût d’aventure tranquille.
Région de l’Everest
Ce trek, c’était notre rêve de couple. L’ascension se faisait lente, presque méditative. À chaque pas, les paysages devenaient plus grandioses, et les rencontres plus précieuses. Des enfants qui rient, des porteurs incroyablement courageux, des drapeaux de prières qui flottent dans le vent… On a parfois eu froid, on a parfois peiné, mais on a toujours avancé avec le cœur rempli. Ce voyage a gravé en nous une profonde admiration pour cette culture et cette nature. Depuis, on en parle tout le temps – et on rêve d’y retourner.
Lina & Thomas, ,
28 et 30 ans, Bruxelles Superbe Découverte de la vallée de Katmandou
Ce séjour dans la vallée de Katmandou a été une véritable immersion dans un autre monde. J’ai adoré flâner dans les ruelles de Bhaktapur, entre temples dorés, cours secrètes et ateliers d’artisans.
Dans une ruelle de Patan, un artisan m’a raconté l’histoire de ses masques Newar… On n’était que deux, assis sur une marche, à refaire le monde. Ces rencontres donnent tout leur sens au voyage. C’était simple, vrai, touchant. Je n’ai jamais aimé les voyages organisés, mais là, j’ai eu l’impression d’être accueillie comme une invitée, pas une touriste.
Marcelle, 69 ans,,
Toulouse Langtang Tibétain
Je suis parti au Népal pour la montagne, mais je suis revenu avec bien plus. Un matin, après une longue marche, je me suis retrouvé assis dans une petite cabane de berger, à partager un thé brûlant avec un vieil homme. On ne parlait pas la même langue, mais le silence était éloquent. Le froid dehors, le feu de bois, son regard paisible... Ce moment suspendu reste l’un des plus puissants de ma vie. Le trek dans le Langtang n’est pas qu’un défi physique, c’est une rencontre avec l’essentiel.
Trek en altitude – Annapurna
Je n'oublierai jamais ce lever de soleil à Poon Hill, où les sommets semblaient flotter au-dessus des nuages. L’ambiance du petit groupe et la bienveillance de notre guide ont tout changé.
Fantastic climb to the Everest Base Camp
I did the Everest Base Camp Trek recently, and it was one of the best experiences of my life! I was accompanied by my guide, who was just the best guide I could have asked for. Everything was arranged smoothly, and I did not suffer from any problems while trekking. The services were the best, and I enjoyed my meals, the accommodations, and the transportation as well. Everyone was super friendly and made me feel comfortable and cared for. I recommend for any people who are looking for the best travel agency and amazing trekking experience!